Kamel Ouali avait annoncé la couleur : « Mon intention dans ce spectacle musical, inspiré librement du roman de Bram Stoker, est d’évoquer l’histoire d’amour impossible entre Dracula, le prince des ténèbres, et Mina, avec beaucoup d’émotion et de subtilité, et non de tomber dans le mythe sanguinolent ». Ce n’est pas le monstre qui habite Dracula mais son caractère romantique qui l’intéresse. Kamel Ouali s’est concentré à imaginer des chorégraphies qui font valser les sentiments et soulignent le désir ardent que provoque le moindre effleurement corporel du duo amoureux. Le spectacle est grandiose : une cinquantaine d’artistes, des décors féériques, de la magie et des effets spéciaux intégrant de la 3 dimensions.