Totems de la subjectivité

La nouvelle présentation des collections est inspirée du titre d’une œuvre de Victor Brauner de 1948, Totem de la subjectivité blessée I, et entre en résonance avec deux ensembles emblématiques du musée, les Onomatomanies de Brauner et les totems de Gaston Chaissac. L'exposition revisite librement près d’un siècle de création.

 

Revisitant librement près d’un siècle de création, depuis l’œuvre expressionniste de Max Beckmann, Paysage avec bêcherons de 1927, jusqu’à la toute dernière acquisition, un triptyque réalisé par David B. en 2016 rendant hommage à André Breton, elle met aux prises avec la subjectivité de l’artiste, quelques figures animales, anthropomorphes ou énigmatiques, qui prennent des allures totémiques ou se font évocatrice d’une subjectivité en perdition.

 

Avec des œuvres de Georg Baselitz, Herbert Brandl, Victor Brauner, Gilles Barbier, Henri Bassmadjian, Max Beckmann, Rémi Blanchard, Jean-Baptiste Chéreau, Philippe Cognée, Jean David B., Olivier Debré, François Dilasser, Dubuffet, Jean-Charles Eustache, Richard Fauguet, Philip Guston, Jean Hélion, Anton Henning, Michel Herz, Philippe Hortala, Hippolyte Hentgen, François Lunven, Élie-Séraphin Mangaud, Genêt Mayor, Marlène Mocquet, Denis Pondruel, Florian et Michael Quistrebert, Jean-Michel Sanejouand, Ernesto Sartori, Daniel Schlier, Jacques Simon, Antonio Virduzzo, Franz West.